Les Gros Manches mourront moins bêtes
Entre deux trajets à vélo, j'apprends à entretenir correctement celui-ci, chose que je n'avais jamais faite sérieusement durant ces sept dernières années.
Et c'est ainsi que dimanche dernier, avec l'aide de l'Homme (qui avait eu le même souci une semaine auparavant), j'ai donc changé mes freins, qui avaient plus morflé en 10 jours d'usage intensif sous la flotte qu'en sept ans d'usage mollasson. Une opération qui a le double avantage de me remplir de fierté ET de m'éviter de mourir encastrée dans un poteau en bas de l'avenue des Gobelins la prochaine fois que j'irai au labo, ce qui est particulièrement appréciable il faut bien le reconnaître.
Et du coup maintenant je me sens un peu comme ça :